Au Royaume-Uni, le médicament antipsychotique atypique, l’Effexor, est un médicament de prescription par les autorités sanitaires européennes qui se révèle efficace pour traiter les symptômes de la schizophrénie. Ce médicament est prescrit pour les personnes âgées de 18 à 65 ans qui souffrent de symptômes de la schizophrénie ou de la dépression, tout en prenant des doses de 25 mg, 50 mg ou 100 mg de l’Atarax, soit à titre de précautions et d’avertissement, selon les instructions de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé.
L’Effexor, ou APEXOLE, est un médicament de prescription par les autorités sanitaires européennes qui se révèle efficace pour traiter les symptômes de la schizophrénie ou de la dépression, tout en prenant des doses de 25 mg, 50 mg ou 100 mg de l’Atarax, soit à titre de précautions et d’avertissement, selon les instructions de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé.
Il appartient à la classe de médicaments appelés antipsychotiques. Ces médicaments agissent en influant sur le comportement d’une personne surtout dans sa réalité. Le médicament APEXOLE peut également être utilisé pour le traitement de la schizophrénie, tout comme l’Atarax, la posologie initiale recommandée en fonction de l’âge, de l’évolution du symptôme et de la réponse de l’organisme.
Le médicament APEXOLE agit en diminuant la quantité de neurotransmetteur appelé dopamine (dopamine), qui va devenir responsable de la dépression. En inhibant cette afflux de dopamine, l’Atarax peut également être administré en association avec un régime alimentaire et un autre traitement médicamenteux pour la schizophrénie, tout en prenant les doses recommandées. Le médicament APEXOLE peut également être utilisé pour le traitement des symptômes de l’épisode maniaque (voir «Effexor ou atarax», ci-dessous)
Dans une étude menée chez les adultes souffrant de troubles bipolaires, la population mondiale avec un taux de mauvais état de dépression a déclaré que le risque d’épisodes maniaques était plus faible et que le médicament APEXOLE était efficace en raison de son effet anti-dopaminergique dans un contexte de dépression.
Pour prévenir les épisodes maniaques, le médicament APEXOLE peut être pris avec de la nourriture ou un régime. Le médicament atarax a des effets bénéfiques sur l’organisme qui peuvent être liés au manque de potassium dans le sang.
«Cette étude va dans la bonne direction, nous nous attendons à voir des résultats positifs plus tard cette année ou dans les années à venir. C’est un nouveau pas dans la bonne direction », s’est réjoui un chercheur de l’Institut national de santé publique (INSPQ), Jean-Michel Gagné.
L’usage récréatif de cette substance, qui peut être mortelle ou nocive, ne se limite pas aux produits pharmaceutiques.
Depuis la fin des années 1990, le THC a gagné du terrain dans la société québécoise. Il est devenu la drogue préférée des jeunes. En 2017, l’INSPQ estimait que plus de 10% des 14-24 ans avaient déjà consommé de la marijuana. Dans la grande majorité des cas, l’usage est occasionnel, surtout chez les hommes.
La recherche indique que le THC peut causer de nombreux effets secondaires, dont la perte de conscience, la désorientation et des problèmes de coordination. L’inhalation de THC pourrait mener à la dépendance, voire à des comportements violents ou à la consommation d’autres drogues.
Durant les 10 dernières années, la consommation d’alcool chez les jeunes a diminué de 30%. Pourtant, la consommation d’alcool est devenue un problème de santé publique majeur, surtout chez les jeunes. Les jeunes de moins de 18 ans ont connu une augmentation de 58% de la consommation d’alcool entre 1991 et 2017.
La consommation d’alcool semble également s’accentuer chez les femmes. Le risque de dépendance à l’alcool est plus élevé chez les femmes de 18 ans et plus, et plus particulièrement chez les adolescentes.
La consommation d’alcool est un phénomène répandu dans la population québécoise et plusieurs études tendent à démontrer un lien entre la consommation d’alcool et la criminalité. Les études révèlent que les jeunes de 15 à 24 ans ont deux fois plus de risques de commettre des crimes violents et des agressions sexuelles que les personnes de 45 ans et plus.
Cependant, il est difficile de faire la part des choses entre la consommation de drogues et l’usage de substances psychoactives. L’INSPQ reconnaît que ces résultats doivent être interprétés avec prudence. Il faut également tenir compte de l’impact du contexte social, des habitudes de vie et de la situation sociale.
Le recours à la marijuana au cours des dix dernières années aurait pu causer la dépendance chez un plus grand nombre de personnes. Cependant, plusieurs autres facteurs influencent ce risque comme le niveau de scolarité, le niveau de revenu, l’état de santé et le style de vie.
La consommation de drogues pourrait donc avoir d’autres effets néfastes sur le cerveau. Les effets des drogues varient d’une personne à l’autre et les produits utilisés sont nombreux. Les effets peuvent être physiques, psychiques ou sociaux.
Les effets de la marijuana peuvent provoquer des troubles de l’équilibre et de l’attention, des hallucinations, des changements de la perception des couleurs et de la température, de la dépression, de la dépression et de l’irritabilité, de la confusion, des changements de personnalité, des changements de la perception des émotions, de la mémoire, des changements de la sensibilité au bruit et à la lumière.
Les effets sur le cerveau de l’usage de drogues comme le THC peuvent se traduire par des troubles de la vision, des difficultés d’apprentissage, des problèmes de mémoire à court et à long terme, une anxiété, des hallucinations, des pensées irrationnelles, des changements d’humeur, de la dépression, des changements de comportement et de la confusion.
Pour les plus jeunes, l’utilisation de la drogue peut être une expérience qui change leur vie.
L’usage récréatif de cannabis pourrait être une expérience qui peut avoir un effet sur les relations avec les amis et la famille. La consommation de drogue peut également avoir un impact sur les relations amoureuses. Certains jeunes ont l’impression de vivre dans un monde qui n’est pas le leur, où le fait de s’ouvrir sur leur vie personnelle n’est pas encouragé.
Les effets de la drogue sur le cerveau peuvent aussi avoir un impact sur le fonctionnement social, les relations personnelles et professionnelles et la capacité à être productif. La consommation de drogues pourrait causer de la solitude, de la tristesse, de l’anxiété, une mauvaise estime de soi, des problèmes de sommeil et un manque de motivation à travailler ou à s’impliquer dans des activités.
L’usage récréatif de cannabis pourrait aussi être un facteur de risque pour le développement des cancers et des maladies chroniques.
Ces effets se manifestent à différents degrés chez les consommateurs de cannabis. Il n’y a pas de différences entre les jeunes qui consomment de l’alcool et ceux qui consomment du cannabis ni chez les personnes qui ont consommé des drogues et des médicaments ou qui ont consommé des drogues et des médicaments en même temps.
S’il est difficile de faire la différence entre les deux, il est plus facile de différencier les effets sur le cerveau. Les adolescents sont plus à risque de développer des troubles de l’attention et de l’humeur et de la dépression. Il est possible que ces effets apparaissent plus tard. Les adultes sont plus à risque d’avoir un problème de dépendance à l’alcool et aux drogues et de souffrir de problèmes de santé mentale.
Il est important de signaler les effets nocifs de la marijuana ou des autres drogues à un professionnel de la santé qui sera en mesure de bien évaluer les risques et les effets potentiels sur le cerveau des jeunes. Il est possible de demander l’aide d’un intervenant ou d’un travailleur social dans les Centres de santé et de services sociaux (CSSS).
Le recours à des programmes de réduction des méfaits devrait être encouragé. Ces programmes visent à réduire la consommation de drogues et à réduire les risques pour la santé associés à la consommation de drogues.
La consommation de marijuana et d’autres drogues psychoactives peut avoir un effet négatif sur la santé psychologique et la capacité de s’engager dans des activités de soins. Cette étude est une nouvelle pierre dans le jardin de la recherche sur le cannabis qui suscite des craintes et des inquiétudes. Les jeunes consommateurs de cannabis doivent être informés des risques pour leur santé et être encouragés à faire part de leurs expériences à leurs parents ou leurs enseignants.
La recherche doit se poursuivre pour comprendre si la consommation de cannabis entraîne d’autres conséquences que celles déjà connues. Le cannabis demeure une drogue récréative à risque. Les produits de cannabis et les autres drogues psychoactives doivent être utilisés avec prudence.
La recherche et la science peuvent améliorer notre compréhension de l’impact du cannabis sur le cerveau. Les chercheurs et les chercheurs doivent communiquer leurs découvertes à la communauté pour que les connaissances scientifiques puissent être utilisées pour améliorer la vie de milliers de personnes dans notre société.
Mesure phare : la loi sur le cannabis
La ministre de la Santé publique a présenté en décembre dernier un projet de loi qui vise à légaliser et à encadrer l’usage du cannabis au Québec. La ministre veut ainsi réduire la dépendance à la drogue en mettant fin à la prohibition et en favorisant une utilisation responsable du cannabis.
Depuis la légalisation, en octobre 2018, la vente de cannabis a augmenté de 130%. Depuis le 17 octobre, le taux de cannabis chez les enfants est de 1,1 mg/kg/jour. Les adolescents (13-17 ans) ont un taux d’environ 2 mg/kg/jour. Pour les adultes (18 ans et plus), le taux s’élève à 3 mg/kg/jour.
Le Québec compte maintenant 2300 personnes ayant une ordonnance autorisant l’importation, la vente ou la distribution de cannabis à des fins récréatives.
La loi vise à réduire le risque d’usage de substances psychoactives en permettant de consommer du cannabis chez soi, sans qu’il soit nécessaire de le consommer dans un lieu public. Ainsi, la consommation de cannabis est devenue une réalité de tous les jours, et pas seulement le vendredi soir. L’interdiction de sa vente dans les bars a créé un vide. Les jeunes ont donc pu se procurer du cannabis et l’utiliser. Les risques de dépendance et d’abus sont moindres, ce qui permet de réduire les risques pour la santé.
Avec la légalisation du cannabis, de nouveaux défis apparaissent. Ceux-ci comprennent la vente, la production et la publicité des produits de cannabis. Ces changements réglementaires entraîneront des changements importants au niveau des lois entourant la vente, la production, la distribution et la publicité des produits de cannabis.
D’autres changements réglementaires sont prévus. Ceux-ci touchent la façon de se procurer et de vendre du cannabis et de la marijuana. Cela inclut notamment la création de bureaux municipaux d’alcool et de produits du tabac à des fins non médicales.
Le gouvernement du Québec compte aussi développer une approche pour la santé mentale des jeunes. Cette politique de santé doit répondre à la fois aux enjeux actuels et aux besoins des jeunes de la population. Le gouvernement du Québec a ainsi mis sur pied un comité ministériel qui a produit des recommandations pour répondre aux besoins de santé des jeunes.
NOTICE
ANSM - Mis à jour le : 25/10/2015
Dénomination du médicament
Atarax
Chlorhydrate de clvenpram (Anakinra) 25 mg
Encadré
Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
· Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire.
Si vous avez toute autre question, si vous avez un doute, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien.
Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez jamais à quelqu'un d'autre, même en cas de symptômes identiques, cela pourrait lui être nocif.
Si l'un des effets indésirables devient grave ou si vous remarquez un effet indésirable non mentionné dans cette notice, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.
Sommaire notice
Dans cette notice :
1. QU'EST-CE QUE ATARAX 25 mg, comprimé?
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE ATARAX 25 mg, comprimé?
3. COMMENT PRENDRE ATARAX 25 mg, comprimé?
4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS?
5. COMMENT CONSERVER ATARAX 25 mg, comprimé?
6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES
Classe pharmacothérapeutique
AINS
Indications thérapeutiques
Ce médicament est indiqué dans le traitement des crises d'angine de poitrine (incluant des angine de poitrine) et des crises d'épilepsie (dont des convulsions).
Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament
Sans objet.
Contre-indications
Ne prenez jamais ATARAX 25 mg, comprimé:
Si vous êtes allergique à la clvenpram (Anakinra) ou à l'un des composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6,
Si vous prenez du pimozide, utilisé pour traiter la prévention des récidives d'une épilepsie (épilepsie d'origine virale),
Si vous prenez des médicaments antiépileptiques, notamment l'acide valproïque (Valproate), utilisés pour traiter les crises convulsives (convulsions) et les crises d'épilepsie.
ROUTE PONT D OUILLY 14220 CESNY BOIS HALBOUT
02 31 78 33 57