Atarax 25mg Prix

ANSM - Mis à jour le : 13/06/2022

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  

ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  

Chaque comprimé pelliculé contient 25 mg de sélénium érythémateux préexistant en forme de classe IA ou III avec une dose quotidienne de 25 mg.

Excipient à effet notoire : chaque comprimé pelliculé contient du lévétirinate deux fois par jour, qui sont indiqués dans le traitement du paludisme, le paludisme aigu des adultes et les enfants à partir de 6 ans.

La forme avec un régime alimentaire riche en graisses est donc indiquée dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. La dose recommandée est de 25 mg de sélénium érythémateux par jour, à prendre une heure avant le coucher.

Pour la posologie maximale, prenez le comprimé de 25 mg par jour pendant 1 à 3 heures.

La dose maximale est de 50 mg par comprimé par jour.

Les comprimés pelliculés de 25 mg sont utilisés par voie orale.

Les comprimés doivent être avalés entiers.

L'excipient à effet notoire à chaque utilisation est l'alcool.

La dose recommandée est de 20 mg/jour en une seule prise par jour.

Pour la posologie maximale, la dose recommandée est de 50 mg par comprimé.

Les comprimés doivent être avalés avec une boisson.

Ce médicament doit être avalé avec un grand verre d'eau. Les comprimés pelliculés ne doivent pas être mâchés.

La prise d'alcool est recommandée chez l'adulte et chez l'enfant. Pour les enfants de plus de 6 ans, l'alcool est recommandé en une prise par jour.

Pour la posologie maximale, prenez le comprimé de 25 mg de sélénium érythémateux par jour, à la demande de l'enfant de 6 ans.

Pour la posologie maximale, la dose recommandée est de 50 mg par jour.

La prise d'alcool est recommandée chez l'enfant et chez l'adulte.

La dose maximale est de 20 mg par comprimé.

Le sérum physiologique doit être réhydraté avec de l'eau.

Les comprimés doivent être avalés avec un grand verre d'eau.

La dose maximale recommandée est de 100 mg par jour.

La dose maximale recommandée est de 50 mg par comprimé.

Comment utiliser ATARAX 25 mg/2 ml, solution injectable en ampoule ?

Voie intraveineuse

Diluer ATARAX 25 mg/2 ml en ampoule dans 250 ml de soluté de chlorure de sodium à 0,9 %, et 25 ml de soluté de glucose à 5 %.

Les solutions injectables sont à conserver dans l'emballage extérieur d'origine.

Ne pas utiliser ATARAX 25 mg/2 ml en ampoule dans une veine ou un muscle.

  • Atarax doit être injecté par un professionnel de santé, à l'aide d'une aiguille ou d'un cathéter veineux périphérique.
  • Pour les patients présentant un antécédent d'allergie à l'atropine ou à tout autre médicament dérivé de l'atropine, ou à l'allopurinol, il convient de respecter des précautions d'emploi avant toute administration d'atropine ou d'allopurinol.
  • Ne pas injecter ATARAX 25 mg/2 ml en ampoule dans une veine ou dans un muscle.

ATARAX 25 mg/2 ml peut être utilisé dans les situations suivantes :

  • Douleurs et crampes liées à une insuffisance hépatique aiguë :
  • Atrophie optique liée à la drépanocytose :

Ne pas injecter ATARAX 25 mg/2 ml dans une veine ou dans un muscle.

  • Atropine et allopurinol :

Dans les cas d'atropinophrénie, les doses utilisées doivent être adaptées selon le degré de sévérité.

En raison de la survenue possible d'un effet toxique hépatique à doses élevées, l'utilisation d'ATARAX 25 mg/2 ml ne doit se faire qu'après une évaluation minutieuse du rapport bénéfices-risques par rapport au bénéfice attendu.

  • Patients présentant une insuffisance hépatique :
  • Patients souffrant d'insuffisance rénale sévère :

Pour les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), la dose initiale recommandée d'atropine est de 0,6 mg/kg de poids corporel administré en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes.

La dose totale à administrer ne doit pas dépasser 0,6 mg/kg de poids corporel administré en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes. La dose totale à administrer est de 0,6 mg/kg de poids corporel administré en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes.

Dans la situation du patient, la dose doit être adaptée en fonction de la clairance de la créatinine. La dose maximale totale de 0,6 mg/kg de poids corporel doit être administrée en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes. La dose maximale totale de 0,6 mg/kg de poids corporel ne doit pas être administrée en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes. La dose totale maximale de 0,6 mg/kg de poids corporel ne doit pas être administrée en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes.

Dans les cas d'atropinopathie et de goutte, les doses utilisées doivent être adaptées selon le degré de sévérité.

Dans les cas d'atrophie optique, les doses utilisées doivent être adaptées selon le degré de sévérité.

En raison de la survenue possible d'un effet toxique hépatique à doses élevées, l'administration d'ATARAX 25 mg/2 ml ne doit se faire qu'après une évaluation minutieuse du rapport bénéfices-risques par rapport au bénéfice attendu.

  • Patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), la dose initiale recommandée d'atropine est de 0,6 mg/kg de poids corporel administré en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes. La dose totale à administrer ne doit pas être dépassée en une seule dose suivie d'une perfusion continue de 0,3 mg/kg de poids corporel toutes les 60 minutes.
  • Douleurs et crampes liées à une insuffisance hépatique :
  • Patients souffrant d'insuffisance hépatique :
  • Patients présentant une insuffisance rénale sévère :

En France, près de 400.000 personnes sont allergiques à un ou plusieurs allergènes. Parmi les allergènes les plus courants sont :

  • les pollens de graminées, qui peuvent être responsables d’asthme et/ou rhinite allergique chez près de 50% des patients. Parmi les graminées, on peut citer le nodulin, qui provoque la rhinite allergique saisonnière (24% des cas), ou le nodulin-1, qui cause la rhinite allergique inter-annuelle (16% des cas).
  • les acariens, qui peuvent provoquer la co-allergie aux protéines de la mère pendant l’allaitement.
  • les protéines du lait à l’arachide pendant l’allaitement.
  • l’histamine

Ces deux dernières espèces provoquent des symptômes de type rhinite, asthme, etc.

Afin de limiter au maximum les conséquences d’une allergie au pollen, on peut choisir de faire le plein de bon air.

Suivant les régions, la qualité de l’air peut être différente et des précautions de précaution doivent être prises pour limiter l’exposition des enfants aux pollens.

Allergies aux pollens : que faire ?

La pollution par les poussières provenant de l’environnement extérieur et de l’intérieur du logement (voiture, poussières de meubles...) peut également provoquer une réaction allergique. Le pollen responsable de l’allergie se retrouve alors dans les voies respiratoires et entraîne une irritation de la muqueuse nasale et des voies respiratoires.

Certaines maladies respiratoires provoquées par des allergies sont parfois mal identifiables : toux sèche, écoulement nasal, éternuements, nez qui coule, rhinorrhée...

Symptômes

  • L’irritation de la muqueuse nasale et les muqueuses des bronches provoquent des éternuements et une gêne respiratoire qui peuvent être associés à une légère toux.
  • de la gorge et de la langue entraine des maux de tête, des maux de gorge, une mauvaise haleine, une fatigue.
  • Les douleurs dans la gorge et la gorge peuvent être accompagnées de fièvre ou de nausées.
  • Les symptômes de la rhinite allergique : rhinorrhée, écoulements nasaux ou éternuements avec un nez qui coule, nez qui pique, nez bouché.
  • Les symptômes de l’asthme : une gêne respiratoire, une toux sèche, une respiration sifflante, un essoufflement.
  • La sensation de congestion nasale : une inflammation du nez qui peut provoquer une congestion nasale et une sensation de nez bouché, une rhinite allergique peut entrainer des sensations de nez congestionné.
  • La sensation de démangeaisons : la peau des paupières ou de la face peut être rougie et/ou démanger.
  • La sensation de lésions : des éruptions cutanées rouges sur la peau avec des croûtes et qui démangent peuvent être observées sur certaines parties du corps.
  • La sensation de congestion thoracique : une sensation de congestion thoracique qui peut s’accompagner de douleurs dans la poitrine et de sueurs froides.

Traitements et prévention

En complément du traitement médical prescrit par votre médecin pour traiter votre allergie, il est important de respecter les recommandations suivantes pour limiter les manifestations allergiques :

  • Eviter le contact avec les allergènes : aérer son habitation au moins 10 minutes par jour. Ne pas utiliser de produits d’entretien contenant du formaldéhyde ou de l’alcool benzylique qui sont connus pour être des allergènes.
  • Respecter les allergènes : éviter les produits parfumés ou contenant des substances allergènes.
  • Prendre des précautions contre les allergènes : bien aérer ses habits, se doucher ou prendre un bain après avoir fait le plein d’air.
  • Prendre une douche au moins 2 fois par jour.
  • Ne pas fumer
  • Ne pas consommer de boissons froides
  • Ne pas consommer d’alcool
  • Ne pas consommer d’aliments contenant de l’aspartame ou des additifs alimentaires
  • Ne pas consommer de médicaments contenant de l’aspirine, de l’ibuprofène, de la naproxène, des anti-inflammatoires ou des antibiotiques
  • Ne pas appliquer de pansements occlusifs
  • Boire beaucoup d’eau
  • Boire une eau enrichie en sels minéraux
  • Éviter les expositions aux pollens : ne pas porter de vêtements amples, éviter les vêtements à la couleur claire ou les vêtements trop épais, et limiter au maximum les activités en plein air.
  • Boire des boissons à température ambiante
  • Ne pas pratiquer d’activités physiques
  • Ne pas faire sécher son linge au soleil, éviter les appareils à rayons UV.
  • Eviter les sports et activités de plein air : éviter les sports d’endurance, éviter les sports avec contact comme le rugby, le football, le tennis, le basketball.
  • Se couvrir le nez et la bouche avec un mouchoir en papier ou avec son coude, ou porter un masque à la pharmacie

En cas de manifestations plus graves, notamment en cas d’asthme, ou si la gêne persiste, il est important de consulter un médecin allergologue.

Vous pouvez également vous renseigner auprès d’un allergologue pour en savoir plus sur les traitements médicamenteux prescrits par votre médecin.

Comment prévenir les allergies ?

Les allergènes de l’environnement sont plus nombreux que les allergènes du mode de vie. Il est donc possible de limiter l’exposition des enfants aux allergènes de la maison et de l’environnement en suivant ces quelques recommandations :

  • Limiter les allergènes dans l’environnement de l’enfant : éviter l’exposition aux pollens et éviter les poussières de maison.
  • Éviter les poussières de meuble : les poussières domestiques peuvent contenir des allergènes qui sont plus présents en hiver ou en automne et qui sont plus persistants dans le temps.
  • Limiter l’exposition à la pollution : la pollution de l’air intérieur est 30% plus élevée que la pollution extérieure, ce qui peut entrainer des symptômes de type rhinite allergique.
  • Changer de literie tous les 7 ans pour éviter les allergènes de literie.
  • Éviter les produits chimiques : éviter les lingettes anti-bactériennes, les déodorants, les parfums et éviter les produits contenant des allergènes d’animaux ou de végétaux (allergies aux protéines de lait).
  • Ne pas manger de produits laitiers et éviter les produits laitiers pendant l’allaitement.
  • Ne pas se parfumer
  • Utiliser des déodorants naturels : choisir un déodorant naturel et respectueux de la peau. Privilégier les déodorants sans aluminium.
  • Éviter de prendre l’avion et les voyages en avion pour limiter la prise d’antihistaminiques et éviter les allergies aux vols.
  • Éviter les cosmétiques : choisir des cosmétiques naturels et respecter la liste INCI. Privilégier les cosmétiques contenant des ingrédients naturels et de la cire d’abeille. Les cosmétiques contenant de l’alcool ou des huiles essentielles peuvent entraîner des irritations.